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Mix énergétique

2024 sonne le lancement d’une course à la décarbonisation de l’industrie, axé sur les secteurs du ciment et de l’acier, principaux émetteurs mondiaux de gaz à effet de serre. Preuve en est, les efforts d’Arcelor Mittal qui prévoit d’investir 1,8 milliard d’euros pour décarboner son site de Dunkerque.
Cette dynamique s’observe également dans les gouvernements du monde entier, qui s’efforcent de rendre la production électrique plus propre et cherchent à accélérer la transition vers les véhicules électriques.

 

Véolia double ses investissement à 4 milliards d’euros d’ici 2030, pour une énergie locale décarbonée. L’entreprise vise à devenir leader en Europe dans l’exploitation de réseaux de chaleur et accroitre de sa capacité de production bio-énergie de 50%.

 

Une récente tribune du Monde donnant la parole à l’association Energies renouvelables pour tous, remet en question l’inclusion du nucléaire dans les objectifs français et européens de déploiement des énergies renouvelables, critiquant sa promotion en tant qu’énergie bas carbone.

 

Au micro d’Europe 1, Emmanuelle Ducros accuse les signataires de cette tribune de « sacrifier le climat » pour maintenir leur position anti-nucléaire. Cette dernière prône le caractère scientifiques et technique du nucléaire comme énergie décarbonée.

 

Dans cette guerre des clans, le gouvernement a tranché et se positionne déjà en faveur du nucléaire comme source d’énergie « pilotable » décarbonée, portée par Bruno Le Maire.

 

17/01/2024